Ousmane Sonko refait encore surface. Après quelques temps emmuré dans son silence, le président du parti Pastef-Les Patriotes parle politique.
Le député, cette fois, a profité de la première université des cadres de son parti pour parler de la politique. Face à un parterre de cadres, il leur parle en jetant du cheveux dans la soupe de la gestion du président de la République. « Nous attendons beaucoup des cadres de ce parti. Pour sauter le pas, un pays doit créer une vision partagée et inclusive. Nous sommes ces rares pays où les gens arrivent au pouvoir sans avoir de vision. C’est maintenant qu’il faut avoir ce plan, des institutions pertinentes, un marché de travail adapté, des réformes ciblées, diagnostiquer les goulots d’étranglement du pays. Il nous faut être prêt bien avant 2024 » fait-il savoir.
Poursuivant sur un ton plein d’engagement, il dit « chaque fois que des intérêts occultes ont pu étouffer la révolution africaine, c’est parce que soit ce n’est pas suffisamment approprié par une masse critique ou alors, il y a un manque de courage de ceux qui devraient porter ce combat. C’est beaucoup d’engagement, beaucoup de courage, pas seulement derrière les claviers mais aussi sur le terrain. Il faut être prêt pour le combat même physique s’il le faut. Il faut que chacun d’entre nous soit prêt pour le sacrifice que nous devons à ce pays et à notre continent » conclut Ousmane Sonko qui s’est toujours considéré comme un panafricaniste.
Le député, cette fois, a profité de la première université des cadres de son parti pour parler de la politique. Face à un parterre de cadres, il leur parle en jetant du cheveux dans la soupe de la gestion du président de la République. « Nous attendons beaucoup des cadres de ce parti. Pour sauter le pas, un pays doit créer une vision partagée et inclusive. Nous sommes ces rares pays où les gens arrivent au pouvoir sans avoir de vision. C’est maintenant qu’il faut avoir ce plan, des institutions pertinentes, un marché de travail adapté, des réformes ciblées, diagnostiquer les goulots d’étranglement du pays. Il nous faut être prêt bien avant 2024 » fait-il savoir.
Poursuivant sur un ton plein d’engagement, il dit « chaque fois que des intérêts occultes ont pu étouffer la révolution africaine, c’est parce que soit ce n’est pas suffisamment approprié par une masse critique ou alors, il y a un manque de courage de ceux qui devraient porter ce combat. C’est beaucoup d’engagement, beaucoup de courage, pas seulement derrière les claviers mais aussi sur le terrain. Il faut être prêt pour le combat même physique s’il le faut. Il faut que chacun d’entre nous soit prêt pour le sacrifice que nous devons à ce pays et à notre continent » conclut Ousmane Sonko qui s’est toujours considéré comme un panafricaniste.
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